Le yoga Kundalini à Nozay : une pratique qui réveille pour de vrai
À Nozay, entre une vie bien remplie et une météo qui hésite toujours entre crachin breton et soleil de plomb, certaines personnes prennent un virage étonnant : elles choisissent le yoga Kundalini. Pas pour faire joli sur Instagram. Pas non plus pour mieux tenir en posture du héron royal à la machine à café. Non. Elles le choisissent pour se réveiller. Pour de vrai.
Claire, elle, ne propose pas “un cours de yoga” comme on commande une infusion détox. Elle ouvre un espace. Un espace où l’on vient tendu comme un câble USB, et d’où l’on repart, souvent, un peu plus vivant. Un peu plus relié à ce qui compte. Et ça, même les moteurs de recherche commencent à s’y intéresser.
Alors si vous avez déjà tapé “yoga kundalini Nozay” avec l’envie confuse de souffler un peu, de remettre du mouvement là où tout stagne, ou simplement de retrouver le plaisir de respirer sans soupirer, cet article est pour vous. Et pas besoin de connaître vos chakras par cœur : ici, la respiration est le guide, le corps reprend ses droits, et l’énergie vitale — oui, celle qu’on avait oubliée derrière trois agendas — se remet doucement en circulation.
Mais attention, on ne parle pas d’un yoga mou du genou. Le yoga Kundalini, tel que le transmet Claire, secoue parfois, mais ouvre toujours. Il invite à se reconnecter à soi, avec ses zones d’ombre, ses élans lumineux, et ses envies d’oser.
Prêt·e à vous remettre en mouvement ? On déroule le tapis (et les paragraphes).
Qu’est-ce que le yoga Kundalini (et pourquoi ce n’est pas une gymnastique zen de plus) ?
Un yoga pas comme les autres
Le yoga Kundalini, ce n’est pas juste tendre une jambe et rentrer le ventre en espérant que ça passe. Ce n’est pas non plus un concours de souplesse ou une séance de gainage vaguement mystique. C’est une pratique transformatrice, mais pas de celles qu’on affiche sur les réseaux avec un filtre coucher de soleil.
Claire le dit souvent : ici, le yoga ne fait pas semblant. Il travaille en profondeur. Il vous traverse, vous bouscule parfois, vous invite à respirer là où vous aviez oublié que c’était possible. Une respiration consciente, ça paraît simple. Mais dans un monde où l’on vit souvent en apnée entre deux notifications, c’est déjà un acte révolutionnaire.
Le yoga Kundalini repose sur une combinaison de postures accessibles, de mantras qu’on chante (même faux, même timidement), et de respirations puissantes. Résultat : le corps s’éveille, le mental ralentit, et quelque chose — difficile à nommer mais bien réel — commence à bouger à l’intérieur.
Kundalini : ce mot qui picote et intrigue
Le mot peut faire peur. Kundalini. On dirait le nom d’un plat indien piquant ou d’une danse sacrée venue d’ailleurs. Mais en réalité, c’est plus simple que ça. Kundalini désigne une énergie vitale que l’on considère comme présente en chacun de nous, souvent endormie, lovée au creux de la colonne vertébrale. Une énergie qui, quand elle circule, aligne — pas seulement la posture, mais aussi les idées, les émotions, les élans.
Claire ne fait pas dans le folklore. Pas de guru autoproclamé, pas de discours perché. Elle propose une approche simple, accessible, ancrée dans le réel. Parce que le yoga Kundalini n’est pas un produit de luxe spirituel réservé aux initiés : c’est une invitation à se reconnecter à ce qu’on est, ici et maintenant, même quand on est fatigué, même quand on n’a pas la foi, même quand on pense ne pas avoir le temps.
Et parfois, en une seule séance, ça respire différemment. Ça pense moins. Ça ressent mieux.
Pourquoi venir pratiquer le yoga Kundalini à Nozay ?
Parce que votre mental est plus encombré que votre boîte mail
Soyons honnêtes : le stress mental, aujourd’hui, c’est un peu la norme. On pense à tout, tout le temps. On court, on liste, on coche des cases, et parfois, on oublie de respirer. Vraiment respirer, pas juste entre deux rendez-vous ou dans la file d’attente de la boulangerie de Derval.
C’est là que Claire intervient. À Jans, elle propose une pratique qui fait de la place à l’intérieur. Elle n’ajoute pas une activité de plus sur votre planning. Elle retire une couche, elle allège. Et pour ça, pas besoin d’être souple comme un chat ni de savoir chanter des mantras en sanskrit à l’envers.
Ici, on vient avec ce qu’on a : un peu de curiosité, un dos qui couine, un mental en surcharge, une envie de faire autrement. Et on repart souvent avec plus d’espace. Dedans.
Parce que ce n’est pas loin, et que ça fait du bien
Vous habitez Nozay ? Derval ? Treffieux ? Parfait. Pas besoin de traverser la Loire-Atlantique en diagonale pour vivre une séance profonde. Le yoga Kundalini à Jans, c’est local, chaleureux, et suffisamment rare pour que ce soit précieux.
Claire propose des séances dans un lieu simple, calme, sans chichis. Pas de musique d’ascenseur, pas de faux encens, juste un espace authentique où vous pouvez déposer ce que vous portez. Et croyez-moi, le tapis n’en a jamais marre. Il accueille tout.
Venir pratiquer ici, c’est aussi choisir un moment pour soi, dans un quotidien qui laisse rarement la place au silence ou à la surprise. Et justement, comme le disait Osho dans une citation que Claire aime beaucoup :
“La vie est une rivière, mais nous en faisons un étang.”
Alors autant redevenir rivière, même une heure par semaine.
Les bienfaits que vous n’aviez pas (forcément) cochés sur votre to-do list
Ce qui change doucement mais profondément
Le yoga Kundalini, dans la façon dont Claire le transmet à Nozay, ne promet pas une vie sans obstacles ni une illumination instantanée. Non, ce qu’il offre, c’est mieux : un chemin concret, sensible, qui remet du vivant là où c’était devenu automatique.
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Vous ressentez plus. Mais plus juste.
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Vous respirez plus grand. Mais sans forcer.
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Vous commencez à poser des limites, sans forcément hausser la voix ni culpabiliser après.
Et tout ça, sans avoir à faire le poirier au sommet du terril d’Abbaretz. Ici, la transformation n’est pas spectaculaire, elle est authentique. Elle s’infiltre dans les détails : un silence que vous n’auriez pas toléré avant, un choix que vous osez faire, un matin où vous vous levez avec l’envie de vous lever, simplement.
Il y a un mot qui revient souvent après une séance avec Claire : « alignement ». Pas celui qui corrige la posture de vos épaules (même si ça arrive aussi), mais celui qui fait que votre tête, votre corps et votre cœur commencent enfin à discuter entre eux.
Témoignage de Laurie : “En fait, c’est presque une guidance…”
Parfois, ce sont les élèves qui parlent le mieux. Laurie, qui pratique régulièrement avec Claire, le dit ainsi :
“Il y a toujours un lien entre ce qu’il se passe dans ma vie et la thématique de la séance. Dans ce que tu nous transmets, j’apprends plein de choses en plus de me faire du bien. En fait, c’est presque une guidance.”
Et elle n’est pas la seule à avoir ce ressenti. Beaucoup ressortent avec la sensation d’avoir touché quelque chose de juste, même s’ils ne savent pas toujours le nommer. C’est peut-être ça, le vrai effet secondaire du yoga Kundalini : un espace de reconnexion où ce que vous vivez a enfin le droit d’être entendu, respiré, traversé.
Et si c’était simplement le bon moment ?
Il y a des périodes dans la vie où tout semble nous inviter à changer de rythme. Où le mental crie pause, où le corps réclame un peu d’attention, où l’envie de sens devient plus forte que l’habitude.
Venir essayer le yoga Kundalini avec Claire, à Jans près de Nozay, ce n’est pas cocher une case de plus sur une liste déjà trop longue. C’est peut-être la première case que vous cochez pour vous. Pour vous reconnecter. Pour vous remettre doucement en mouvement, de l’intérieur.
Parfois, il suffit d’un souffle, d’un silence, d’un mantra murmurée un peu timidement pour que quelque chose commence à changer. Et si cette première respiration différente, c’était maintenant ? Contactez Claire dès aujourd’hui.
Cet article a été rédigé par Christophe GRÉGOIRE, rédacteur SEO, de l’entreprise Castelweb.