Claire Lavaur en séance de thérapie corporelle, illustrant l’écoute profonde et le retour au corps dans un cadre chaleureux à Nozay

Thérapie par le corps, le souffle et l’écoute

Une autre manière d’aller mieux

Pourquoi choisir une thérapie qui passe par le corps et le souffle ?

Vous avez sans doute déjà tout essayé : les discussions sans fin, les conseils bienveillants (mais fatigants), les livres de développement personnel empilés sur votre table de chevet… Et pourtant, quelque chose continue de coincer. Vous avez compris beaucoup de choses, c’est vrai. Mais ça ne change pas toujours ce que vous ressentez. Alors peut-être que la thérapie que vous cherchez ne passe pas seulement par la tête — mais par le corps, la respiration consciente, et une écoute thérapeutique profonde.

Derrière ce mot parfois un peu impressionnant – « thérapie » – se cache ici une approche profondément humaine, chaleureuse, et surtout… très différente de ce qu’on imagine. Rien à voir avec un divan, un psy qui hoche la tête ou des « mmh mmh » pendant que vous tentez de résumer votre enfance en trois phrases. Ici, c’est le corps qui parle, et vous, vous respirez. Vous vous reconnectez à votre corps, à votre rythme. Vous déposez ce qui pèse, sans avoir à l’expliquer.

Claire Lavaur vous accueille à Jans, dans un espace qui n’a rien d’un cabinet clinique. Ce n’est pas un “lieu de soin” au sens classique, c’est un lieu pour revivre. Un lieu où l’on peut se dire autrement, ou ne rien dire du tout, et pourtant… ressentir, bouger, exister, se retrouver. En un mot : vivre. Pas survivre, pas faire semblant. Vivre, avec la souplesse du vivant, là où tout était devenu rigide.

Et non, il ne s’agit pas d’un miracle marketing. On ne vous vend pas la transformation express en “meilleure version de vous-même”. Cette thérapie douce et sensible, c’est un chemin. Parfois on pleure, parfois on rit (parfois les deux en même temps). Mais surtout, on avance. Un souffle après l’autre.

Alors si vous cherchez une autre manière d’aller mieux, une manière qui vous respecte et vous écoute vraiment… vous êtes peut-être au bon endroit.

Se dire autrement : quand les mots ne suffisent plus

Il y a des jours où vous auriez mille choses à dire… mais aucun mot ne sort. D’autres fois, vous parlez beaucoup, mais vous avez l’impression de ne rien dire d’essentiel. C’est frustrant, n’est-ce pas ? Et pourtant, c’est humain. Parfois, les mots ne suffisent plus. Ou plutôt, ils ne savent plus par où passer. Ils tournent, s’embrouillent, ou se planquent derrière une formule toute faite : “ça va”. Spoiler : non, ça ne va pas toujours. Et c’est précisément pour cela que certaines personnes ressentent le besoin de se dire autrement.

La bonne nouvelle ? En thérapie par le corps et le souffle, on n’est pas obligé de tout expliquer. Vous pouvez arriver en disant : “Je ne sais pas trop ce que je viens chercher ici”… et ça suffit. Parce que votre mémoire corporelle et émotionnelle, elle, sait très bien ce qui a besoin d’être entendu, vu, relâché. Parfois même, un simple soupir en dit plus long qu’un long discours. Et ça, Claire Lavaur l’accueille avec bienveillance — et sans bloc-notes.

Ce type d’écoute thérapeutique profonde n’attend pas une version parfaite de vous-même. Vous n’avez pas besoin d’être claire (avec un petit « c »), ni articulée, ni même bavarde. Vous avez juste besoin d’être là. C’est tout. Et dans ce “tout”, il y a beaucoup.

En réalité, cet espace où vous pouvez vous dire autrement, c’est un soulagement. Un endroit où vos silences sont entendus. Où vos gestes parlent pour vous. Où vos larmes ne sont pas des drames à essuyer vite fait, mais des signes que la vie recommence à circuler. Bref : un endroit où on ne vous demande pas de performer votre mieux-être, mais de vous reconnecter à ce qui est vivant en vous.

Et comme vous allez le voir, cela tient beaucoup à la personne qui vous accompagne. Parlons un peu de Claire, justement. Car ce que vous venez chercher ici, ce n’est pas seulement une méthode. C’est une relation.

Claire Lavaur : une thérapeute qui vous écoute… pour de vrai

Alors oui, vous avez peut-être déjà croisé sur votre route des personnes “à l’écoute”. Des gens qui hochent la tête très sérieusement, en ponctuant vos phrases de “je comprends”… tout en jetant un œil à l’horloge. Soyons honnêtes : ça ne fait pas vraiment rêver.

Claire Lavaur, c’est tout l’inverse. Elle n’est pas là pour cocher des cases ou poser des diagnostics express. Elle est là, présente, entière, humaine. Et surtout, elle vous écoute vraiment. Elle est claire. C’est-à-dire qu’elle ne cherche pas à tout comprendre. Elle accueille, sans jugement, sans étiquette, sans vous faire entrer dans une grille de lecture qui a été pensée pour tout le monde… sauf vous. Elle éclaire.

Son approche ? Une thérapie sensible, enracinée dans une expérience de terrain, dans des outils concrets (on y revient juste après), et dans une qualité de présence qui fait toute la différence. Elle n’est pas là pour “faire une séance”, mais pour être avec vous. Point.

Et ce qui la rend unique, c’est aussi cette capacité à laisser la place à ce que vous n’avez jamais osé dire, mais qui transpire malgré tout. Ces choses qu’on garde au fond de soi, parce qu’on ne trouve ni le bon moment, ni la bonne personne, ni les bons mots. Claire, elle ne cherche pas ces mots. Elle vous propose plutôt un espace où le corps peut parler à sa manière, où les émotions peuvent remonter en douceur, sans précipitation, sans pression.

Et parfois, elle sait aussi rire. Oui, on peut rire en thérapie, figurez-vous. Parce qu’un éclat de rire, quand il vient du cœur, ça libère autant qu’un soupir. Et ça, Claire l’accueille aussi.

Mais alors, me direz-vous, comment ça marche tout ça ? Qu’est-ce qu’elle utilise, cette Claire ? Non, pas une baguette magique. Mais des outils bien à elle, qui mêlent respiration consciente, écoute du corps et pratiques issues du yoga Kundalini. On en parle maintenant ? Allez, on respire un coup, et on continue.

Mémoire du corps, respiration consciente, yoga Kundalini : des outils pour ressentir à nouveau

Quand on parle de thérapie, certains imaginent une chaise face à un bureau, une boîte de mouchoirs au centre, et un dialogue qui commence par : “Et sinon, parlez-moi de votre mère…”. Spoiler : chez Claire, rien de tout ça. Ici, les outils sont bien réels, mais ils ne ressemblent en rien à une scène de film ou à une caricature de consultation.

Commençons par le corps. Oui, le corps. Ce compagnon de route qu’on oublie parfois d’écouter alors qu’il nous parle tous les jours. Il parle en tensions, en douleurs diffuses, en soupirs retenus, en cernes du lundi matin. Il garde en lui la mémoire de ce qu’on a vécu, surtout ce qui n’a pas été digéré, exprimé, accueilli. Ce qu’on a “géré” à l’époque, mais que lui… n’a pas oublié.

C’est là qu’intervient la respiration consciente. Non, ce n’est pas une performance yogique à base d’apnée prolongée ou de postures acrobatiques. C’est simplement l’acte de respirer… mais en présence. Inspirer avec attention. Expirer avec intention. Et là, surprise : ça bouge. Des émotions remontent, des tensions se relâchent. La vie recommence à circuler. Et vous réalisez que vous êtes là, ici et maintenant. Ce qui, mine de rien, n’est pas rien.

Claire propose aussi parfois en séance des outils issus du yoga Kundalini. Alors rassurez-vous, vous n’avez pas besoin d’être souple comme un chat ou mystique comme un moine tibétain. Le yoga Kundalini, dans le cadre de cette thérapie incarnée, c’est avant tout un moyen de remettre du mouvement là où la vie s’était un peu endormie. C’est un yoga qui vous remet debout, à l’intérieur. Et pas besoin de savoir où est votre chakra du foie pour ressentir l’effet.

Et le plus beau ? Ces outils ne vous forcent pas à « faire ». Ils vous invitent à ressentir. Vous avancez à votre rythme, selon ce que vous êtes prêt·e à vivre. Pas plus, pas moins.

Alors non, Claire ne “soigne” pas. Elle accompagne. Elle vous aide à vous reconnecter à votre corps, à vos sensations, à votre souffle. Et, petit à petit, vous apprenez à vivre plus pleinement, sans apnée, sans masque, sans chercher à plaire à votre mental.

Une thérapie sensible, à votre rythme, sans pression

Vous avez peut-être déjà lu ou entendu cette phrase : “Il faut aller à la racine du problème.” Très bien. Mais que fait-on quand ladite racine est enfouie sous trois couches de béton émotionnel, un tapis de feuilles mortes et un vieux couvercle en fonte hérité de l’arrière-grand-mère ? On s’épuise à creuser ? Non. On respire, on accueille, et surtout, on ralentit.

C’est l’un des piliers de la thérapie sensible proposée par Claire Lavaur : vous accompagner à votre rythme, pas à celui du dernier best-seller de développement personnel ou d’un programme “transformez-vous en 21 jours ou demandez remboursement”. Ici, il n’y a pas de pression à aller mieux vite, pas d’objectif à atteindre, pas de performance émotionnelle attendue.

Vous pouvez venir avec vos silences, vos hésitations, vos “je ne sais pas pourquoi je suis là”… et vous serez accueilli·e comme vous êtes. Certains jours, vous aurez envie de parler. D’autres, de respirer en silence. Et d’autres encore, de ne rien faire du tout – et c’est parfaitement valable. Parce que parfois, le simple fait d’être là, de s’accorder un temps, un espace, un souffle… c’est déjà beaucoup.

Et puis soyons honnêtes : on vit dans une société qui valorise l’efficacité, la vitesse, les résultats. Mais en matière de souffrance, de mémoire du corps, de transformation intérieure, cette logique ne fonctionne pas. Le vivant ne se cale pas sur un agenda. Il a besoin de souplesse. De pauses. De lenteur, parfois. Et c’est exactement ce que Claire vous offre : un espace sécurisant, libre, où vous pouvez vous reconnecter à votre corps, à vos émotions, sans devoir justifier quoi que ce soit.

Vous n’avez pas à prouver que vous allez mal pour être écouté·e. Vous n’avez pas à faire semblant d’aller bien pour mériter de souffler. Et vous n’avez surtout pas à “faire comme si” pour qu’on vous prenne au sérieux. Alors oui, ça peut sembler inhabituel, voire déstabilisant au début. Mais rapidement, on se rend compte que c’est terriblement… reposant. Et ça change quoi, concrètement ? Eh bien, on en parle tout de suite.

Ce que cela peut changer : revivre au lieu de survivre

Alors non, on ne sort pas de chez Claire en marchant sur un petit nuage au-dessus des rue de Jans, les bras en croix, façon pub pour eau minérale. Mais on ressort différent·e. Parfois un peu sonné·e, souvent plus léger·e, et très souvent avec cette sensation difficile à décrire, mais que beaucoup résument ainsi : “Je ne sais pas pourquoi, mais je respire mieux.”

Et c’est justement ça, l’effet d’une thérapie qui passe par le corps, le souffle, et l’écoute sensible : ça ne cherche pas à tout réparer. Ça remet du mouvement là où la vie avait mis pause. Ça fait circuler, doucement, là où tout était figé. Et, surtout, ça permet de revivre au lieu de survivre.

Ce n’est pas forcément spectaculaire. Ce n’est pas toujours linéaire. Mais c’est réel. Un jour, vous vous surprenez à ne plus répéter ce schéma usant que vous pensiez gravé en vous. Un autre jour, vous vous autorisez à dire non — ou à pleurer — sans honte. Et puis, doucement, vous remarquez que votre souffle descend un peu plus bas dans le ventre. Que votre dos se relâche. Que votre corps ne crie plus aussi fort. Parce qu’il a été entendu, enfin.

Ce que Claire vous propose, ce n’est pas une transformation en version 2.0 de vous-même. C’est un retour à votre version vivante, tout simplement. Celle qui sent, qui doute, qui rit, qui tremble, qui cherche, qui respire… et qui ne se cache plus. Et vous n’avez pas besoin de tout comprendre pour que ça fonctionne. Vous n’avez même pas besoin de croire que c’est possible. Vous avez juste besoin de faire ce premier pas vers vous-même.

Et si, justement, ce premier pas commençait maintenant, à deux rues de chez vous ?

Thérapie à Nozay, Jans, Derval : et si c’était maintenant ?

Il y a parfois un drôle de moment. Vous venez de lire quelque chose, et ça fait comme un petit écho à l’intérieur. Rien de spectaculaire, juste une sensation discrète. Un soupir plus long. Un “tiens…” mental. C’est souvent là que commence le vrai changement.

Et si, justement, ce “tiens…” était l’appel à faire un pas vers vous ? Un pas modeste, oui. Mais un pas dans la bonne direction. Parce que la thérapie, ce n’est pas toujours une grande décision solennelle. Parfois, c’est simplement envoyer un message, dire “Je crois que j’aurais besoin de parler, ou de respirer… ou les deux.”

Si vous habitez Nozay, Jans, Derval ou les alentours, vous n’êtes pas seul·e. Il existe un lieu, une personne, un espace où l’on vous accueille avec simplicité, sans obligation de “savoir ce que vous venez chercher”. Ce lieu, c’est celui que Claire Lavaur crée avec vous, à chaque séance. Un lieu pour vous reconnecter à votre corps, à votre souffle, à votre élan de vie.

Et puis, soyons honnêtes : vous n’avez pas besoin d’attendre d’aller mal “pour de vrai” pour consulter. La prévention, l’envie de mieux se comprendre, de ne plus répéter les mêmes boucles… tout ça, c’est légitime. Et même salutaire.

Alors voilà. Vous avez toutes les cartes en main. Si ce que vous avez lu ici vous parle, même un tout petit peu… peut-être que c’est déjà le bon moment. Et si vous hésitez, pas de souci : Claire vous accueille sans pression, sans attente, avec cette écoute vraie et cette présence qui changent tout.

Et si c’était maintenant ?

Cet article a été rédigé par Christophe GRÉGOIRE, rédacteur SEO, de l’entreprise Castelweb.